Traîtres dans le Macky : le rôle des espions étrangers
« Dans le jargon bien populaire wolof, ils ont fait ce qu’on appelle du “ngaralé” (jouer sur plusieurs tableaux) », révélions-nous.
Dans sa livraison du jour, le quotidien EnQuête renforce la thèse du complot, pour souligner que les services de renseignement étrangers ont tourné à plein régime durant cette période.
Notre très bien introduit confrère d’écrire que l’essentiel des renseignements fournis au président Macky Sall ne provient pas des services locaux.
« Il semble aussi le fait que certaines sociétés françaises soient la cible d’attaques verbales, ait alerté certaines officines discrètes, mais très efficaces », croit savoir le canard.
« De là à dire que ces services ont sourcé le président, il y a un pas que nous franchirons », se réserve le journal. Qui précise que même des communications WatsApp ont été piratées et des mouvements d’argent traqués.