Le match entre le Sénégal et la Côte d’Ivoire en huitièmes de finale de la CAN 2023 a déclenché une vive polémique, mettant en lumière les décisions arbitrales, notamment l’utilisation controversée de la VAR (arbitrage vidéo). Les révélations sur la composition du corps arbitral, comprenant deux assistants marocains et un arbitre égyptien, ont alimenté les suspicions de partialité. Les tensions historiques entre l’Égypte et le Sénégal, ainsi que la rivalité entre le Maroc et le Sénégal, ont jeté le doute sur l’objectivité de l’arbitrage.
Le joueur sénégalais Krépin Diatta a exprimé publiquement son mécontentement envers l’arbitrage, accusant les membres de la CAF d’être « des corrompus » et remettant en question les décisions prises lors du match. Il a critiqué le non-recours à la VAR pour une faute sur Ismaïla Sarr et a déploré le penalty accordé à la Côte d’Ivoire. Ses déclarations ont mis en lumière le mécontentement généralisé des joueurs sénégalais et ont attiré l’attention sur les possibles erreurs arbitrales ayant affecté le déroulement du match.
En attendant d’éventuelles réponses des instances dirigeantes du football continental, cette controverse souligne les enjeux autour de l’arbitrage dans les compétitions internationales et suscite des interrogations sur la transparence et l’impartialité des décisions arbitrales.
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